0 Ă 20 sur 20 PubliĂ© le 4 mars 2010 081218 Je pense que ça explique aussi pourquoi je ne vais plus les voir. greuh Je ne vais pas cliquer sur ton lien suis au boulot... mais je commence Ă de moins en moins apprĂ©cier Helena Bonham Carter, qui joue toujours le mĂȘme genre de rĂŽle. Il aime faire jouer sa femme, mais Ă la longue, ça se voit trop. greuhPubliĂ© le 4 mars 2010 141037 lABCdaire ditJe ne vais pas cliquer sur ton lien suis au boulot... mais je commence Ă de moins en moins apprĂ©cier Helena Bonham Carter, qui joue toujours le mĂȘme genre de rĂŽle. Il aime faire jouer sa femme, mais Ă la longue, ça se voit trop. HBC fait toujours la mĂȘme chose, Jhonny Depp aussi, Tim Burton aussi, Elfman aussi, les maquilleurs, les dĂ©corateurs et les costumiers aussi... En fait, lequel des films de ce mec n'Ă©tait pas Ă l'identique de Jhonny Silverhand ? greuh DncanPubliĂ© le 4 mars 2010 144248 greuh ditEn fait, lequel des films de ce mec n'Ă©tait pas Ă l'identique de Jhonny Silverhand ? La planĂšte des singes DeckardPubliĂ© le 4 mars 2010 144702 lien pour mobiles cliquez lĂ Nous attendons nous avec impatience la possibilitĂ© d'aller voir Alice... Tous les films que j'ai vu de lui m'ont plu 1988 Beetlejuice j'Ă©tais jeune 1989 Batman 1990 Edward aux mains d'argent un peu moins 1992 Batman, le dĂ©fi Batman Returns 1996 Mars Attacks! 1999 Sleepy Hollow un peu moins 2001 La PlanĂšte des singes L'histoire y est pour beaucoup 2005 Charlie et la chocolaterie Charlie and the Chocolate Factory 2005 Les Noces funĂšbres Corpse Bride corĂ©alisateur avec Mike Johnson J'aimerai bien voir Big Fish 2003 un jour peut ĂȘtre?? Je trouve une saveur commune Ă ses films, Ă©videmment. Il nous propose ses variations sur une mĂȘme couleur, on retrouve des artistes dans tous les arts qui font cela, Ă diffĂ©rentes Ă©poques. il manque quand mĂȘme l'Ă©trange noĂ«l de mister jack qui fait que du coup les noces funĂšbres c'est moins bien. DYcePubliĂ© le 5 mars 2010 070058 Il n'a pas rĂ©alisĂ© l'Etrange Noel de Mr Jack, juste Ă©crit le scenar !! greuhPubliĂ© le 5 mars 2010 084512 Dyce ditIl n'a pas rĂ©alisĂ© l'Etrange Noel de Mr Jack, juste Ă©crit le scenar !! Il a pas Ă©crit le scĂ©nar, il a juste Ă©crit un synopsis et conçu le premier jet des personnages "based on a story and characters by". Et sinon, il est l'un des producteurs mais pas le seul. Le _rĂ©alisateur_ de Jack, Henry Selick, a aussi fait le rĂ©cent Coraline. Tim Burton est Ă Selick ce que Elvis fut Ă Carl Perkins. greuh, don't thread on his blue suede shoes. vikingPubliĂ© le 5 mars 2010 085425 J'ai beau trouver la video bien drĂŽle, je marche Ă chaque fois dans les films de Burton. A part peut-ĂȘtre Sleepy Hollow. Et sinon, je te conseille Big Fish qui n'a finalement pas grand chose Ă voir avec johnny Silverhand. Et qui n'est pas un chef d'oeuvre. Mais qui est bien plaisant. Et pi y'a pas johnny depp. DncanPubliĂ© le 5 mars 2010 110516 tehemPubliĂ© le 5 mars 2010 122144 Dyce ditIl n'a pas rĂ©alisĂ© l'Etrange Noel de Mr Jack, juste Ă©crit le scenar !!greuh ditIl a pas Ă©crit le scĂ©nar, il a juste Ă©crit un synopsis et conçu le premier jet des personnages "based on a story and characters by". Et sinon, il est l'un des producteurs mais pas le seul. Burton n'a pas rĂ©alisĂ© Etrange Noel de Mr Jack mais - il a Ă©crit le poĂšme initial et le synopsis - il est crĂ©ditĂ© en deuxiĂšme position pour le scĂ©nario - il y est producteur exĂ©cutif - il y est directeur artistique - il a Ă©crit les paroles des chansons avec Danny Elfman Sans compter que les thĂ©matiques et les rĂ©fĂ©rences de ce film sont rĂ©currentes dans les films de burton... Je pense qu'on peut dire que Burton Ă proprement diriger Selick sur ce coup et qu'il s'agit bien de SON film dar darPubliĂ© le 5 mars 2010 124635 ed wood et big fish sont pour moi ses 2 meilleurs films. Et je ne trouve pas qu'elfman fait toujours la mĂȘme chose. Il a une "filmographie" trĂšs variĂ©e Ă mon goĂ»t...et déçoit quand mĂȘme trĂšs rarement. FlubuhPubliĂ© le 5 mars 2010 140417 Plus facile de lui taper dessus que de taper sur Tim Burton, c'est vrai, mais ça me rappelle ceci sur Luc Besson. DodPubliĂ© le 5 mars 2010 204624 MrGirafe ditJ'aimerai bien voir Big Fish 2003 un jour peut ĂȘtre?? A voir avant de passer de vie Ă trĂ©pas. Onirique Ă souhait. Vraiment Ă part. InĂ©narrable. Dod ditTout pareil, avec une grosse prĂ©fĂ©rence pour Big Fish qui est pour moi un chef-d'Ćuvre et dans le top 5 de mes films prĂ©fĂ©rĂ©s The Big Fish et effectivement un pur chef d'oeuvre... aussi l'un de mes films prĂ©fĂ©rĂ©s... J'ai hĂ©sitĂ© l'autre fois Ă acheter le DVD de Big Fish, la prochaine fois, je n'hĂ©siterai pas !!! vikingPubliĂ© le 6 mars 2010 200451 je trouve edward aux mains d'argent bien meilleur que Big fish. Je pense que si on demande Ă Burton, c'est celui-lĂ son chef d'oeuvre Vu que tout le monde dit "L'Empire contre-attaque" de Georges Lucas, je me permets de citer "L'Ă©trange noĂ«l de Mr Jack" quand on me parle des films de Burton, je pense pas vraiment que ce soit le sujet. Ma rĂ©flexion concernait plus la proximitĂ© entre l'Ă©trange noĂ«l et les noces funĂšbres et que le premier Ă©tait bien meilleur que le second, amha.
SleepyHollow, la lĂ©gende du cavalier sans tĂȘte, un film de Tim Burton | Synopsis : En 1799, dans une bourgade de La Nouvelle-Angleterre, plusieurs cadavres sont successivement retrouvĂ©s dĂ©capitĂ©s. Les tĂÂȘtes ont disparu. TerrifiĂ©s, les habitants sont persuadĂ©s que ces meurtres sont commis par un Ă©trange et furieux cavalier, dont la rume avec Johnny Depp,Christina
La solution Ă ce puzzle est constituéÚ de 13 lettres et commence par la lettre S Les solutions â pour TIM BURTON de mots flĂ©chĂ©s et mots croisĂ©s. DĂ©couvrez les bonnes rĂ©ponses, synonymes et autres types d'aide pour rĂ©soudre chaque puzzle Voici Les Solutions de Mots CroisĂ©s pour "TIM BURTON " 1 0 SuggĂ©rĂ© par les utilisateurs Utilisateur Solution Lettres Anonyme Sleepy Hollow 13 Partagez cette question et demandez de l'aide Ă vos amis! Recommander une rĂ©ponse ? Connaissez-vous la rĂ©ponse? profiter de l'occasion pour donner votre contribution! SimilairesDate de naissance 25 aoĂ»t 1958 56 ans Professions RĂ©alisateur Producteur ScĂ©nariste Acteur Timothy Walter Burton, dit Tim Burton, est un rĂ©alisateur, scĂ©nariste et producteur amĂ©ricain nĂ© le 25 aoĂ»t 1958 Ă Burbank en Californie. RĂ©alisateur de 16 long mĂ©trages dont les plus connus sont Sleepy Hollow ou Alice au Pays des Merveilles plus rĂ©cemment Dark Shadows et Frankenweenie 2012. Biographie[] Tim Burton passe l'essentiel de son enfance en solitaire, se dĂ©finissant lui-mĂȘme comme un introverti. Au soleil de la Californie, dans sa ville natale de Burbank, qu'il dĂ©finit lui-mĂȘme comme l'antichambre d'Hollywood, il prĂ©fĂšre les salles obscures des cinĂ©mas oĂč il voit et revoit les films de monstres comme Godzilla, Frankenstein et ses nombreuses suites, les films de Hammer Film Productions, et surtout ceux avec Vincent Price. Il s'amuse Ă terroriser l'enfant de ses voisins en lui faisant croire que les extra-terrestres se prĂ©parent Ă envahir la planĂšte. TrĂšs douĂ© pour le dessin, il gagne un concours organisĂ© pour dĂ©corer les camions de la ville. En 1979, il est embauchĂ© par les studios Disney. Il dira Ă ce propos Cela peut paraĂźtre stupide, mais je suis arrivĂ© Ă une Ă©poque oĂč le studio Ă©tait en crise. Les dirigeants cherchaient Ă tout prix du personnel » . Avec toute la meilleure volontĂ© du monde, Burton ne parvient pas Ă dessiner ce que le studio dĂ©sire. Durant cette pĂ©riode, il Ă©crit un poĂšme qui, dix ans plus tard, sera la base du scĂ©nario de L'Ătrange NoĂ«l de Monsieur Jack. En 1982, Burton reçoit 60 000 USD pour rĂ©aliser, Ă partir du scĂ©nario qu'il a rĂ©digĂ©, Vincent. Julie Hickson, exĂ©cutif chez Disney, et Tom Wilhite, responsable du dĂ©veloppement crĂ©atif, sont persuadĂ©s du potentiel crĂ©atif du jeune homme. Cerise sur le gĂąteau, Vincent Price, son idole, est le narrateur de ce petit dessin animĂ©. Rick Heinrichs, collĂšgue de travail et spĂ©cialiste de l'animation, travaille sur le projet. Il sera de presque tous les futurs films de Burton. Les cadres du studio sont effrayĂ©s par la noirceur de ce court mĂ©trage de seulement cinq minutes, et le mettent au placard. Il ne sortira qu'en complĂ©ment de programme de L'Ătrange NoĂ«l de Monsieur Jack en 1993. NĂ©anmoins, ils reconnaissent Ă Burton un certain talent. Aussi, il est choisi pour mettre en scĂšne un court mĂ©trage un peu plus long, avec des acteurs et des dĂ©cors rĂ©els Frankenweenie. MĂȘme rĂ©sultat artistique et mĂȘme consĂ©quence. Un univers sombre et poĂ©tique[] La chance lui sourit en 1985. La firme cinĂ©matographique Warner Bros a passĂ© un contrat avec l'acteur Paul Reubens qui incarne Pee-Wee Herman, sorte d'enfant dans un corps d'adulte, pour rĂ©aliser un film dont il est la vedette. Tim Burton parvient Ă dĂ©crocher le poste de rĂ©alisateur. Il n'entre plus dans les plans de Disney, et Warner veut un metteur en scĂšne qui ne pose pas de problĂšme. Avec un faible budget, Pee-Wee Big Adventure n'est pas l'une des prioritĂ©s du studio qui concentre son attention sur Les Goonies, mais qui garde cependant un Ćil sur ce tournage record le film est rĂ©alisĂ© en moins d'un mois, sans aucun dĂ©passement budgĂ©taire. Danny Elfman signe la musique ; c'est le dĂ©but d'une longue et fructueuse collaboration entre le compositeur et le rĂ©alisateur. SuccĂšs surprise au box-office, le premier long-mĂ©trage de Tim Burton divise la critique. Lucide, Burton refuse de rĂ©aliser la suite des aventures de Pee-Wee afin de ne pas ĂȘtre cataloguĂ©. Trois ans plus tard, il est dĂ©signĂ© pour rĂ©aliser Beetlejuice, d'un budget de treize millions de dollars, dont un affectĂ© aux effets spĂ©ciaux. Avec ce film, qui est, selon ses propres mots, une version parodique de L'Exorciste, il pose un peu plus les bases de son univers joyeusement morbide, dĂ©licieusement poĂ©tique et comique. EmmenĂ© par l'interprĂ©tation totalement dĂ©jantĂ©e de Michael Keaton, le film cartonne et rĂ©colte soixante-treize millions de dollars aux Ătats-Unis seulement, et reçoit un Oscar pour le maquillage. Warner propose Ă Tim Burton de rĂ©aliser Batman, avec un budget de trente cinq millions de dollars. La firme a acquis les droits d'adaptation du personnage créé par Bob Kane en 1979 et a mis prĂšs de dix ans Ă dĂ©velopper le projet. SĂ©duit depuis toujours par la face cachĂ©e, la double personnalitĂ© de Batman, Burton accepte. Il part Ă Londres, aux studios Pinewood oĂč Stanley Kubrick a mis en scĂšne Full Metal Jacket. Anton Furst, dĂ©corateur du film de Kubrick, est engagĂ© pour rĂ©aliser Gotham City. Burton dĂ©sire s'Ă©loigner un peu de la folie qui entoure ce projet. MalgrĂ© tout, il est sans cesse sous pression son choix de prendre Michael Keaton pour interprĂ©ter le justicier masquĂ© est contestĂ©. Le costume en tissu bleu de la sĂ©rie devient noir, avec une fausse musculature. La Warner est inondĂ©e de plus de cinquante mille lettres de protestations. Mais le cinĂ©aste ne veut rien lĂącher, soutenu par ses principaux acteurs. Il veut effectuer un retour aux sources qui prĂȘte Ă discussion, voire Ă polĂ©mique chez certains fans. Vincent Price, avec qui il est en contact depuis Vincent, lui Ă©crit pour lui tĂ©moigner son soutien. Le film remporte quatre cent millions de dollars Ă l'Ă©chelle mondiale, et l'Oscar des meilleurs dĂ©cors. Burton a dĂ©sormais les coudĂ©es franches, mais le tournage l'a moralement vidĂ©. Il souhaite revenir Ă un film plus intimiste. Ce sera Edward aux mains d'argent. Le carrĂ© d'as[] Burton sollicite le studio 20th Century Fox pour financer son film. Warner veut impĂ©rativement lui faire rĂ©aliser la suite des aventures de Batman, et ne manifeste aucun intĂ©rĂȘt pour ce scĂ©nario basĂ© sur un dessin d'homme avec des mains-ciseaux qui, sans le vouloir, casse tout ce qu'il touche. Il choisit la Floride pour mettre en scĂšne ce film largement autobiographique. C'est Ă©galement la rencontre entre Burton et l'acteur Johnny Depp. Tant pour l'un que pour l'autre, l'alchimie est parfaite. Nouvelle rencontre cinĂ©matographique entre le fan et l'idole, Vincent Price tient le rĂŽle de l'inventeur d'Edward, son dernier rĂŽle Ă l'Ă©cran. Une interprĂ©tation bouleversante selon Burton. VĂ©ritable plaidoyer pour la tolĂ©rance, magnifiĂ© par l'interprĂ©tation habitĂ©e de Johnny Depp et de Winona Ryder, ainsi que la musique de Danny Elfman, ce quatriĂšme long-mĂ©trage est saluĂ© par l'ensemble de la critique comme un chef-d'Ćuvre. Triomphe commercial, il demeure aujourd'hui encore l'un des sommets de la filmographie de Tim Burton. En 1992, il accepte de rĂ©aliser le deuxiĂšme volet des aventures de Batman. Cette fois-ci, le justicier masquĂ© est confrontĂ© Ă Catwoman et au Pingouin, jouĂ©s respectivement par Michelle Pfeiffer et Danny DeVito. Les dirigeants de Warner se sont mordus les doigts d'avoir refusĂ© Edward aux mains d'argent ; ils donnent donc une entiĂšre libertĂ© artistique Ă Burton qui place le tournage Ă Burbank, sa ville natale. Encore plus noir et plus torturĂ© que le premier, ce nouvel opus pose encore une fois problĂšme, car Warner reçoit de nouvelles lettres de protestations, non pas des fans mais des parents qui jugent le film trop effrayant pour leurs enfants. Mais le film triomphe au box-office. En outre, il traduit l'influence du cinĂ©ma expressionniste sur Burton, et plus particuliĂšrement Friedrich Murnau et son Nosferatu. Marque indiscutable de cette parentĂ©, Christopher Walken incarne un homme d'affaires vĂ©reux appelĂ© Max Shreck, le nom de l'interprĂšte du vampire dans le film de Murnau. L'annĂ©e suivante, une surprise de taille arrive sur les Ă©crans L'Ătrange NoĂ«l de Monsieur Jack . Le scĂ©nario est basĂ© sur un poĂšme Ă©crit par Burton Ă l'Ă©poque oĂč il Ă©tait chez Disney. Il rappelle le Grinch du Dr Seuss, l'un des poĂštes favoris du cinĂ©aste. Il s'agit d'un film d'animation image par image, une technique artisanale pour laquelle Burton a une grande passion. La mise en scĂšne va nĂ©cessiter trois ans. C'est Henry Selick qui est chargĂ© de la rĂ©alisation, mais Burton l'a surveillĂ© trĂšs Ă©troitement. Le film est produit par Disney, propriĂ©taire du poĂšme. Le contrat que Burton a signĂ© en intĂ©grant le studio en 1979 comprend une clause spĂ©cifiant que toute activitĂ© crĂ©atrice d'un membre de Disney est la propriĂ©tĂ© de la Police de la pensĂ©e » en clair, ne serait-ce que pour rĂ©aliser un scĂ©nario Ă partir du poĂšme, il faut nĂ©gocier avec Disney. Mais le succĂšs de leur ancien employĂ© rendent les dirigeants plus accommodants. Un budget de dix-huit millions de dollars est dĂ©bloquĂ©, soit le tiers du budget habituel d'un film Disney. Pour la troisiĂšme fois consĂ©cutive, l'action se dĂ©roule Ă l'Ă©poque de NoĂ«l. Tim Burton donne libre cours Ă sa passion pour la fĂȘte de l'Halloween. Danny Elfman compose les mĂ©lodies, mais Ă©galement des chansons qui transforment le poĂšme en une comĂ©die musicale. Burton et Elfman se disputent souvent car, si les chansons s'insĂšrent trĂšs bien dans l'histoire et ne la ralentissent pas, elles nĂ©cessitent des amĂ©nagements scĂ©naristiques. Cela a pour effet que les deux amis se fĂąchent ; une brouille qui durera trois ans. En 1994, Burton met en scĂšne la vie farfelue d'Edward Davis Wood Junior, rĂ©alisateur affublĂ© de façon posthume du titre de plus mauvais rĂ©alisateur de tous les temps ». Il sollicite Johnny Depp pour incarner un nouvel Edward qui, comme le prĂ©cĂ©dent, entretient de nombreuses connexions avec son univers et sa vie. Avec cependant une nuance de taille Burton est adulĂ© alors que Wood fut dĂ©nigrĂ©. La relation entre Lugosi et Wood est un miroir de celle entre Price et Burton. Le scĂ©nario se concentre sur la pĂ©riode fastueuse » d'Edward Wood. On le voit mettre en scĂšne, non sans mal, trois films dont le lĂ©gendaire Plan 9 from Outer Space. Pour la circonstance, il s'entoure de nombreux acteurs passĂ©s ou mĂ©prisĂ©s comme Bela Lugosi, la prĂ©sentatrice de films d'horreurs Vampira et le lutteur suĂ©dois Tor Johnson. Toute cette troupe vit de nombreuses pĂ©ripĂ©ties dans leur parcours cinĂ©matographique digne d'un film hollywoodien, mais prĂ©cisĂ©ment l'inverse du rĂȘve amĂ©ricain » cher Ă Hollywood qui prĂ©fĂšre les histoires Ă succĂšs. De plus, le film est tournĂ© en noir et blanc. Tous ces choix expliquent probablement l'Ă©chec de l'un des meilleurs films de Tim Burton qui se surpasse comme rarement. Il retourne certaines sĂ©quences, Ă l'identique, des films de Wood avec une prĂ©cision d'orfĂšvre. GĂ©nĂ©reux, il offre deux superbes cadeaux Ă Ed Wood la rencontre avec Orson Welles qui n'eut jamais lieu, et une premiĂšre triomphale pour Plan 9 from Outer Space. Howard Shore compose la musique en lieu et place d'Elfman. Le film remporte deux Oscars Martin Landau dĂ©croche l'Oscar du meilleur second rĂŽle pour son interprĂ©tation de Bela Lugosi, et Rick Baker celui du maquillage, mais le film ne s'inscrit pas au box-office. Tim Burton connaĂźt son premier Ă©chec commercial. Fin de siĂšcle en demi-teinte[] Son nouveau projet est Mars Attacks!. Jonathan Gems, collaborateur de Burton depuis Batman, Ă©galement scĂ©nariste et auteur de piĂšces de théùtre, rĂ©dige un scĂ©nario basĂ© sur un jeu de cartes reprĂ©sentant des martiens et des dinosaures . Burton donne volontairement Ă son film un aspect ringard, dans le style des films de science-fiction Ă petit budget des annĂ©es 1950 . TrĂšs Ă©loignĂ© du style gothique, expressionniste ou mĂȘme colorĂ© Pee-Wee Big Adventure, Beetlejuice qu'on lui connaĂźt, la griffe de Burton se reconnaĂźt Ă son humour. Ce sont des enfants qui sauvent la planĂšte des envahisseurs pendant que le prĂ©sident fait face Ă des journalistes qui se demandent si les martiens ont un sexe. Version surprenante de La Guerre des mondes de Wells. MalgrĂ© une plĂ©iade de stars, le film n'emballe ni la critique, ni le public qui lui prĂ©fĂšre Independence Day, film traitant du mĂȘme sujet mais sur un ton plus dramatique, et Ă grands coups d'effets spĂ©ciaux. NĂ©anmoins, ce deuxiĂšme Ă©chec commercial a un point positif le retour de Danny Elfman Ă la musique. Burton a expliquĂ© les raisons de cette brouille Danny, Henry Selick et moi nous disputions souvent sur le plateau de L'Ătrange NoĂ«l de Monsieur Jack, Ă cause des chansons de Danny. Caroline Thompson et moi devions sans arrĂȘt rĂ©amĂ©nager le scĂ©nario pour les insĂ©rer. On s'est tous conduits comme des gamins. Mais de ne pas nous voir pendant un certain temps nous a fait du bien Ă tous les deux.» Les deux artistes ne se quitteront plus. Burton a retrouvĂ© son pendant musical. On lui propose de rĂ©aliser un nouvel Ă©pisode de Superman, avec Nicolas Cage dans le rĂŽle principal, plus axĂ© sur la psychĂ© du personnage. Burton accepte mais aprĂšs un an, le projet est interrompu. Il se retrouve pleinement dans le scĂ©nario de Sleepy Hollow ambiance sombre et gothique, cadavres dĂ©capitĂ©s en sĂ©rie, humour noir, dĂ©mon sans tĂȘte... Kevin Yagher, responsable des effets spĂ©ciaux de la sĂ©rie Les Contes de la crypte, s'associe avec Andrew Kevin Walker, auteur du scĂ©nario de Seven, pour adapter la nouvelle Ă©ponyme de Washington Irving. Le tournage se fait en Angleterre, et plusieurs collaborateurs de Batman sont sollicitĂ©s. Toujours peu enclin aux effets spĂ©ciaux numĂ©riques, qui sont limitĂ©s au strict minimum pour un film de ce genre, Burton concentre toute l'attention de son Ă©quipe artistique sur les dĂ©cors, allant jusqu'Ă rĂ©aliser lui-mĂȘme certains arbres de la forĂȘt. AppuyĂ© par Johnny Depp, Christina Ricci, Michael Gough et Christopher Lee, le cinĂ©aste renoue avec le succĂšs critique et commercial, malgrĂ© une interdiction aux enfants de moins de 13 ans aux Ătats-Unis. Elfman compose pour l'occasion une musique sombre et torturĂ©e. Sorti en 1999, le film semble ĂȘtre un rĂ©capitulatif de l'Ćuvre de Burton citrouille, humour noir, ambiance gothique, moulin en feu, lĂ©gende mĂ©diĂ©vale dĂ©moniaque... Nouveau millĂ©naire et nouvelles obsessions[] Le XXIe siĂšcle s'ouvre de maniĂšre ambivalente pour Tim Burton. Le succĂšs de Sleepy Hollow, cependant trĂšs loin de ses premiers films, lui permet de retrouver le final cut, autrement dit le montage final, perdu aprĂšs Ed Wood. NĂ©anmoins, Burton n'est toujours pas en position de force. En 2001, il accepte de rĂ©aliser un remake de La PlanĂšte des singes. Pendant le tournage, il se sĂ©pare de l'actrice Lisa Marie qu'il a Ă©pousĂ©e huit ans auparavant, et rencontre Helena Bonham Carter qui va devenir sa femme. Il perd Ă©galement son pĂšre. Le film obtient de bons rĂ©sultats, atteignant les cent soixante-treize millions de dollars de bĂ©nĂ©fices sur le sol amĂ©ricain. Deux ans plus tard, le studio Columbia le contacte pour mettre en scĂšne Big fish. Entre-temps, sa femme lui a donnĂ© un fils. Un homme qui va devenir pĂšre mais qui va Ă©galement perdre le sien ; Tim Burton ne peut que se retrouver dans cette histoire dont les Ă©vĂ©nements sont trĂšs synchrones avec sa vie. Ewan McGregor tient le premier rĂŽle. Le style du cinĂ©aste change d'orientation, mais sa griffe est visible sorciĂšre, loup-garou, gĂ©ant, nains... Il concrĂ©tise en 2005 un projet vieux de plus de quinze ans mettre en scĂšne le chef-d'Ćuvre de Roald Dahl, Charlie et la chocolaterie. Pour la quatriĂšme fois, Johnny Depp est en tĂȘte de la distribution. Il campe un Willy Wonka complĂštement survoltĂ©, rappelant le dĂ©mon Beetlejuice, et dont l'apparence ressemble, Ă certains Ă©gards, au personnage Alex d'Orange mĂ©canique de Stanley Kubrick. Ce dernier est citĂ© avec la scĂšne de la barre chocolatĂ©e tĂ©lĂ©visuelle le film dans lequel la barre est projetĂ©e est 2001, l'odyssĂ©e de l'espace. Le cinĂ©aste s'installe, pour la deuxiĂšme fois, aux studios Pinewood dont il utilise presque tous les plateaux. Ă titre d'anecdote, cent vingt mille litres d'un mĂ©lange couleur chocolat sont fournis par NestlĂ©. Danny Elfman signe la musique et prĂȘte sa voix pour le chĆur des Oompas-Loompas. Si l'esthĂ©tique gothique habituelle fait place Ă un univers plus colorĂ©, il n'en reste pas moins que la poĂ©sie propre Ă Burton demeure le plan final avec la maison des Bucket arrosĂ©e par des canons Ă neige. Quatre mois plus tard, Les Noces funĂšbres arrivent sur les Ă©crans. Ce nouveau film d'animation a Ă©tĂ© tournĂ© en parallĂšle de Charlie et la chocolaterie. Pour la circonstance, Burton s'entoure de ses collaborateurs habituels Johnny Depp, Helena Bonham Carter, Christopher Lee, Albert Finney et Michael Gough notamment prĂȘtent leurs voix aux marionnettes. Le scĂ©nario de Burton est basĂ© sur un conte russe qu'un de ses collaborateurs lui a racontĂ©, pendant le tournage de L'Ătrange NoĂ«l de Monsieur Jack. Mais, cette fois-ci, pas de dispute entre Elfman et Burton. Les deux artistes ont retenu la leçon. Le cinĂ©aste en profite pour Ă©gratigner un peu la bourgeoisie, prĂ©sentĂ©e comme terne, cynique et arriviste, et afficher sa prĂ©fĂ©rence pour le monde des morts, nettement plus haut en couleur et plus animĂ©. Le rĂ©sultat final est saisissant, trĂšs proche des Ćuvres de Jean Cocteau et de Bertolt Brecht. Pour l'anecdote, Burton a avouĂ© s'ĂȘtre Ă©tonnĂ© lui-mĂȘme, car il a dessinĂ© ses principaux personnages sans penser Ă Depp, Helena Carter, Christopher Lee. De Vincent Ă Ed Wood, Tim Burton s'est fait le chantre des marginaux, des solitaires, des prĂ©tendus monstres renfermant des trĂ©sors de gentillesse. Avec Mars Attacks!, il passe Ă tout un groupe. Sleepy Hollow marque un nouveau cycle celui de la famille. Big Fish, Charlie et la Chocolaterie et Les Noces FunĂšbres poursuivent dans cette voie. L'enfant solitaire, prĂ©tendu anormal, a probablement rĂ©glĂ© ses comptes et pense maintenant Ă fonder une famille. Nous avons appris rĂ©cemment la sĂ©paration de Tim Burton avec son ancienne compagne, Helena Bonham Carter. Son Ćuvre et son style[] Tim Burton est un rĂ©alisateur, amoureux des images, jouant aussi bien avec le Technicolor kitsch des annĂ©es 1950 qu'avec le noir et blanc du gothique ou de la nostalgie, mais aussi un amoureux des monstres attachants qui peuplent ses dĂ©lires visuels, comme dans Pee Wee Big Adventure 1985, Beetlejuice 1988, Batman 1989, Edward aux mains d'argent 1990, Batman, le dĂ©fi 1992, L'Ătrange NoĂ«l de Monsieur Jack 1993, Ed Wood 1994, Mars Attacks! 1996, Sleepy Hollow 1999, La PlanĂšte des Singes 2001, Big Fish 2003, Charlie et la Chocolaterie 2005 et Les Noces FunĂšbres 2005. Dans une interview, il dit ... mon truc Ă moi ce sont les monstres. DĂ©jĂ , mĂŽme, je les aimais. Je me sentais proche d'eux en marge de la sociĂ©tĂ© et incompris, comme eux. De plus, j'ai toujours eu un faible pour les outsiders, ceux que l'on pense mĂ©chants alors que, en fait, ils ne le sont pas. Ce sont des personnages attachants, trĂšs intĂ©ressants Ă explorer. » Il figure au palmarĂšs des rĂ©alisateurs qui rapportent le plus au monde cinĂ©matographique en termes de bĂ©nĂ©fices. Il est cependant l'un des rares rĂ©alisateurs amĂ©ricains Ă concilier de gros chiffres au box-office avec un univers et un style trĂšs personnels et une ambition artistique certaine, par ses histoires enchantĂ©es, dans lesquelles il travaille Ă©normĂ©ment les couleurs dĂ©cors et costumes. Il est aussi un des derniers grands rĂ©alisateurs Ă utiliser la mĂ©thode artisanale de l'animation comme nous pouvons le voir dans L'Ătrange NoĂ«l de Monsieur Jack qu'il n'a pas rĂ©alisĂ©, contrairement Ă une croyance commune bien ancrĂ©e, mais qu'il a Ă©troitement supervisĂ© ou plus rĂ©cemment dans Les Noces FunĂšbres. Tim Burton et Edgar Poe[] Edgar Allan Poe a fortement influencĂ© Tim Burton. Lâattrait que le cinĂ©aste Ă©prouve pour lui provient dâune part de la dĂ©couverte de lâĆuvre du poĂšte maudit lorsque Burton a 10 ans et, dâautre part, des films que Roger Corman a rĂ©alisĂ©s dâaprĂšs lâĆuvre de Poe. Il convient de prĂ©ciser que Vincent Price, son idole, Ă©tait la vedette principale de ce cycle. Le scĂ©nario de L'Ătrange NoĂ«l de Monsieur Jack a Ă©tĂ© rĂ©digĂ© Ă partir d'un poĂšme Tim Burton. Cela renforce un peu plus le parallĂšle entre Burton et Poe, car son plus cĂ©lĂšbre travail est un poĂšme Le Corbeau. De plus, les poĂšmes de Poe et de Burton servent Ă chaque fois de base Ă lâĂ©laboration des scĂ©narios respectifs qui, certes respectent lâesprit des auteurs, mais entraĂźnent lâhistoire dans une nouvelle direction. Le poĂšme original de Poe est transformĂ© en un vĂ©ritable feu dâartifice visuel et burlesque entre Price, Karloff et Lorre, tandis que celui de Burton devient une comĂ©die musicale mĂ©lancolique et macabre. Marques de fabrique[] Tim Burton laisse sur chacune de ses Ćuvres plusieurs empreintes rĂ©currentes, parmi lesquelles PrĂ©sence frĂ©quente de chiens morts, de chats noirs, de clowns, de parapluies, d'arbres tordus, de reprĂ©sentants d'Ă©glises peu sympathiques et d'Ă©pouvantails dans ses films. De plus, prĂ©sence quasi perpĂ©tuelle de morts dans ses films. Les crĂ©dits, au dĂ©but du film, sont souvent prĂ©sentĂ©s en travelling. Travaille rĂ©guliĂšrement avec certains acteurs Johnny Depp, Helena Bonham Carter, Michael Keaton, Jeffrey Jones, Jack Nicholson, Glenn Shadix, Deep Roy, Christopher Lee, Lisa Marie, Winona Ryder, Danny de Vito, Albert Finney et Paul Reubens. Ses travaux et son style sont influencĂ©s par l'artiste Edward Gorey, notamment au niveau de ses peintures Ă l'encre. Utilise souvent les ombres afin d'obtenir un rendu inquiĂ©tant. Ses personnages principaux ont tendance Ă ĂȘtre des individus solitaires, excentriques, timides, en marge de la sociĂ©tĂ©, souvent pĂąles et distants. Ses crĂ©ations prĂ©sentent un bon nombre de rayures noires et blanches et de spirales tordues. Ses films commencent souvent par des flocons de neige tombant la nuit, ou lorsque la fĂȘte commence in medias res. Il s'inspire parfois du cinĂ©ma expressionniste allemand et de ses images exagĂ©rĂ©es. Pour les trames sonores, il travaille essentiellement avec Danny Elfman sauf pour Ed Wood, dont la musique est signĂ©e Howard Shore. Il insĂšre souvent des rĂ©fĂ©rences aux Kaijus Eiga dans ses films. Il a une prĂ©dilection pour les monstres de tous types loup-garou dans Big Fish, le Pingouin et Catwoman dans Batman 2, une galerie complĂšte dans L'Ătrange NoĂ«l de Monsieur Jack... Filmographie[] RĂ©alisateur[] 1971 The Island of Doctor Agor 1979 Stalk of the Celery Monster 1982 Aladdin and his Wonderful Lamp dans l'Ă©mission Shelley Duvall's Faerie Tale Theatre 1982 Vincent 1982 Hansel and Gretel 1982 Luau, corĂ©alisĂ© et coscĂ©narisĂ© avec Jerry Rees 1984 Frankenweenie avec Shelley Duvall, Barret Oliver 1985 The Jar dans l'Ă©mission Alfred Hitchcock prĂ©sente 1986 Pee-Wee Big Adventure The Story of a Rebel and his Bike avec Pee-Wee Herman, Mark Holton 1988 Beetlejuice avec Michael Keaton, Alec Baldwin, Geena Davis, Winona Ryder, Catherine O'Hara 1989 Batman avec Michael Keaton, Kim Basinger, Jack Nicholson 1990 Edward aux mains d'argent Edward Scissorhands avec Johnny Depp, Winona Ryder, Dianne Wiest 1991 Batman, le dĂ©fi Batman Returns avec Michael Keaton, Michelle Pfeiffer, Danny DeVito, Christopher Walken 1994 Ed Wood avec Johnny Depp, Martin Landau,Patricia Arquette, Bill Murray 1996 Mars Attacks! avec Jack Nicholson, Glenn Close, Danny DeVito, Tom Jones, Pierce Brosnan 1999 Sleepy Hollow avec Johnny Depp, Christina Ricci, Christopher Walken, Miranda Richardson, Christopher Lee 2001 La PlanĂšte des singes Planet of the apes avec Mark Wahlberg, Tim Roth 2003 Big Fish avec Ewan McGregor, Albert Finney, Helena Bonham Carter 2005 Charlie et la chocolaterieCharlie and the Chocolate Factory avec Johnny Depp, Helena Bonham Carter, Christopher Lee 2005 Les Noces FunĂšbres Corpse Bride corĂ©alisateur avec Mike Johnson avec les voix de Johnny Depp, Helena Bonham Carter, Emily Watson, Christopher Lee, Albert Finney, Michael Gough 2007 Sweeney Todd Le Diabolique Barbier de Fleet Street avec Johnny Depp 2012 Frankenweenie 2012 avec Charlie Tahan, Winona Ryder et Martin Landau 2014 Big Eyes avec Reese Witherspoon et Ryan Reynolds 2016 Miss Peregrine et les Enfants Particuliers Miss Peregrine's Home for Peculiar Children avec Eva Green, Asa Butterfield, Ella Purnell 2019 Dumbo avec Colin Farrell, Eva Green, Michael Keaton et Danny DeVito Acteur[] 1992 Singles de Cameron Crowe avec Bridget Fonda, Matt Dillon 1994 A Century of Cinema de Caroline Thomas avec Richard Attenborough, Dan Aykroyd ScĂ©nariste[] 1982 Vincent de Tim Burton avec la voix Vincent Price 1985 Frankenweenie de Tim Burton avec Shelley Duvall 1988 Beetlejuice de Tim Burton avec Alec Baldwin, Geena Davis 1990 Edward aux mains d'argent Edward Scissorhands de Tim Burton avec Johnny Depp, Winona Ryder 1993 L'Ătrange NoĂ«l de Monsieur Jack The Nightmare before Christmas de Henry Selick avec Chris Sarandon, Danny Elfman 2005 Les Noces funĂšbres Corpse Bride de Mike Johnson avec les voix de Johnny Depp, Helena Bonham Carter, Christopher Lee Producteur[] 1989 Beetlejuice 1990 Edward aux mains d'argent Edward Scissorhands de Tim Burton avec Johnny Depp, Winona Ryder 1991 Batman, le dĂ©fi Batman Returns de Tim Burton avec Michael Keaton, Michelle Pfeiffer 1993 L'Ătrange NoĂ«l de Monsieur Jack The Nightmare before Christmas de Henry Selick avec Chris Sarandon, Danny Elfman 1994 Ed Wood de Tim Burton avec Johnny Depp, Martin Landau 1995 Batman Forever de Joel Schumacher avec Val Kilmer, Tommy Lee Jones 1996 James et la pĂȘche gĂ©ante James and the Giant Peach de Henry Selick 1996 Mars Attacks! de Tim Burton avec Jack Nicholson, Glenn Close 2005 Les Noces funĂšbres Corpse Bride de Mike Johnson Notes[] En 1997, Tim Burton a Ă©galement Ă©crit un petit recueil de poĂšmes, La Triste Fin du petit Enfant HuĂźtre et autres histoires The Melancholy Death of Oyster Boy & Other Stories, qu'il a illustrĂ© lui-mĂȘme. En 1979, il a dĂ©butĂ© dans les studios de Walt Disney, oĂč il a planchĂ© sur Rox et Rouky Ce n'est pas un trĂšs bon souvenir. Leur vision du dessin n'Ă©tait pas la mienne. Je me sentais enfermĂ© dans un schĂ©ma qui ne cadrait pas avec ce que j'Ă©tais. Mais [...] grĂące Ă eux j'ai pu travailler en parallĂšle sur mes premiers courts mĂ©trages. » En 2006, il reçoit un prix spĂ©cial pour l'ensemble de sa carriĂšre au festival d'Annecy, oĂč quelques personnes ont pu le rencontrer et lui poser des questions durant 45 minutes environ. Fan de l'acteur Vincent Price, Tim Burton lui rend hommage en 1982 dans Vincent, dans lequel Vincent Price lui-mĂȘme prĂȘte sa voix au narrateur. Il retrouvera l'acteur dans Edward aux mains d'argent. Il a Ă©tĂ© le sujet de plusieurs biographies illustrĂ©es, notamment Tim Burton d'Antoine de Baecque par les Ă©ditions les Cahiers du CinĂ©ma.
En1958, Clyde Geronimi rĂ©alisa un film dâanimation, The legend of Sleepy Hollow; un autre dessin animĂ© fut rĂ©alisĂ© en 1999. Le budget Ă©tait de 80 millions $. Le film a rapportĂ© 265
Tim Burton, Fille bleue avec vin. 1997. Huile sur toile, 71,1 à 55,9 cm. Collection privée