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Ă partir du mardi et jusqu'Ă jeudi, Petite-ForĂȘt accueille le camion-laboratoire de PubliĂ© 5 Avril 2012 Ă 22h57 Temps de lecture 1 min C'est pas sorcier, place des Ăcoles. L'objectif est le mĂȘme que celui de l'Ă©mission tĂ©lĂ©visĂ©e rendre les sciences accessibles Ă tous, Ă travers des expĂ©riences Ă©tonnantes et amusantes. Dans la remorque du camion, les enfants retrouveront tout l'univers de l'Ă©mission comme notamment les fameuses maquettes de Fred et Jamy et pourront, Ă partir d'une Ă©nigme, explorer le thĂšme des cinq sens la vue, l'ouĂŻe, le toucher, le goĂ»t et l'odorat. Le camion de la dĂ©couverte est une opĂ©ration qui permet Ă chaque ville d'accueillir un Ă©vĂ©nement Ă©ducatif et ludique de proximitĂ©. Cette Ă©mission connue et reconnue prĂ©sentĂ©e par Fred, Jamy et Sabine fait l'unanimitĂ© auprĂšs du corps enseignant, des parents et surtout des enfants. De nombreux crĂ©neaux sont rĂ©servĂ©s aux scolaires. Ainsi, les mardi 10 et jeudi 12 janvier de 9 h Ă 12 h et de 14 h Ă 17 h seront rĂ©servĂ©s aux Ă©coles primaires ; le mercredi 11, matin, aux collĂ©giens, et l'aprĂšs-midi, au grand Carole Ajenguin, TĂ©l 03 27 23 98 73.
Cest pas sorcier Suivre Le pauvre Fred est perdu au milieu de nulle part, et tente tant bien que mal de retrouver le camion de C'est pas sorcier. Jamy, qui s'est entouré des moyens les plus sophistiqués pour
Signe ou symbole, la diffĂ©rence peut sembler tĂ©nue un monde y tiendrait. Le signe est immĂ©diat, il montre clairement ce quâil dĂ©signe. Une flĂšche est un signe qui indique une direction. Câest immĂ©diat, tout le monde peut comprendre. Un symbole est un signe quâon ne comprend pas forcĂ©ment. Pour comprendre un symbole, il faut partager la culture de lâĂ©metteur, la personne qui lâa mis lĂ . Pourquoi lĂ ? Pourquoi ce symbole particulier ? Pourquoi aujourdâhui ? Le symbole, pour ĂȘtre interprĂ©tĂ©, demande un examen du contexte, des rĂ©fĂ©rences culturelles, des autres occurrences de ce mĂȘme symbole dans le mĂȘme contexte ou dans un contexte diffĂ©rent⊠Et aprĂšs toutes ces Ă©tudes, on ne peut pas ĂȘtre sĂ»r de lâavoir complĂštement compris. Voyez ce haut-relief qui orne cette Ă©glise passant la souris sur lâimage, faites monter lâinfobulle pour avoir les coordonnĂ©es. Il reprĂ©sente un chrisme, P et X entrelacĂ©s, les lettres grecques alpha et omega de part et dâautre. Câest un symbole chrĂ©tien fort cĂ©lĂšbre, et son interprĂ©tation fait partie des a priori intangibles, gravĂ©s dans le marbre comme le chrisme lui-mĂȘme. Nâimporte quel membre du clergĂ© vous le dira, P veut dire Pax et X dĂ©signe le Christ. Le chrisme se lit donc Pax Christi. Le symbole, pour les chrĂ©tiens, signifie que la paix du Christ Ă©tait lĂ au commencement et elle nous accompagnera jusquâĂ la fin. Singulier aphorisme, si lâon tient compte du fait que la paix tout court, on lâattend toujours. Quâelle vienne du Christ ou de sa sĆur, Ă parler franc, on nâen a jamais vu la queue. La paix se fait dĂ©sirer. Par goĂ»t de pinailler, jâajouterais que deux lettres P et X on peut leur faire dire tout autre chose. Pie X, par exemple. Et tiens, justement, Par eXemple aussi. Et PaX. Ou Porno X. Windows XP. Ce quâon veut. Moi quand je regarde ce truc, le chrisme, ce ne sont pas les lettres qui me frappent. Tout de suite le dessin me dit quelque chose. Pour moi câest trĂšs clair. Aucun symbole Ă dĂ©chiffrer, tout est montrĂ©. Ăa reprĂ©sente quelque chose qui a existĂ©, qui Ă©tait lĂ au commencement et qui va revenir pour la fin du match. Un signe trĂšs facile Ă dĂ©chiffrer quand on sait oĂč chercher. Le message est lisible, sans Ă©quivoque, sans X pour dire Christ, que du solide. Que des faits. Le dessin Ă©voque la croix celtique. La vraie, qui pourrait ĂȘtre plus ancienne encore. Celle qui a les quatre branches de la mĂȘme longueur. Selon moi elle remonte Ă lâorigine de cette humanitĂ©, cinquiĂšme du nom. Ou sixiĂšme selon certains ? Elle nâĂ©voque pas la mort, celle-ci. On y cherche en vain le suppliciĂ©. Il nâapparaĂźtra quâau Moyen Ăge, quand on a rallongĂ© la branche infĂ©rieure pour en faire la croix du supplice. Embarrassante perspective. Il y avait des croix Ă tous les carrefours en Europe. La croix elle aussi est bien antĂ©rieure Ă JĂ©sus, elle est mĂȘme plus ancienne que le crypto-christianisme â je ne parle pas des catacombes Ă lâĂ©poque romaine, mais dâune religion dâĂ©veil, celle du Christ Ăsus, quâon appelle Mithra en orient et que les Bretons ont identifiĂ© Ă Saint Yves. Selon moi elle remonte Ă lâorĂ©e de cette humanitĂ©, cinquiĂšme du nom. Ou sixiĂšme selon certains ? La croix est celle de lâorigine. Jây vois la partition qui partage en quartiers Ă©gaux lâĂźle dâAtlantide qui est circulaire, ou le vaisseau-mĂšre HyperborĂ©e Nibiru, circulaire aussi. Vu de dessus, ce vaisseau ou cette Ăźle artificielle rĂ©vĂ©laient la croix formĂ©e par quatre fleuves, oui, les quatre fleuves dâEden. Ces fleuves sâĂ©coulaient depuis une haute montagne que les Grecs ont nommĂ©e lâOlympe, mais qui nâest pas le mont Olympe, tardivement rebaptisĂ©, quand les Grecs avaient tout oubliĂ©. Ce qui dâaprĂšs Platon leur arrive quelquefois. Cette croix est depuis toujours la signature des dieux dâavant. La marque des terraformeurs. Y a-t-il un logo plus simple, plus facile Ă mĂ©moriser, plus naturel aussi ? On le voit partout ce logo, on y pensera donc sans cesse aux dieux dâHyperborĂ©e, ce qui Ă©tait leur but. Lâinvention de JĂ©sus et du nĂ©o-christianisme nâa pu faire lâimpasse sur un tel symbole, totalement omniprĂ©sent. Les PĂšres de lâEglise lâont donc christianisĂ©e. Ils ont trouvĂ© une astuce pour la rattacher Ă la jolie lĂ©gende quâils avaient composĂ©e. HĂ©las lâastuce Ă©tait morbide. Câest bel et bien la croix dâHyperborĂ©e quâon retrouve Ă lâidentique dans le chrisme â bien prĂ©sente mais sous un angle inhabituel. Elle nâest plus verticale comme dans la croix celtique, mais horizontale et vue de dessus. Ce qui est encore plus conforme au modĂšle. Elle sâinscrit dans un cercle, ici en perspective il forme une ellipse, qui reprĂ©sente la totalitĂ© de la surface de lâAtlantide, de Mu, de LĂ©murie ou dâHyperborĂ©e. Tous les engins des dieux dâavant affectaient cette quadripartition. Sur chacun dâentre eux, on voyait de trĂšs loin cette croix gigantesque, quatre fleuves gĂ©ants miroitants de mille feux. Dans lâimage qui suit, le chrisme est comparĂ© Ă nos vieilles girouettes oĂč figurent les quatre points cardinaux en position horizontale, surmontĂ© dâune figure animaliĂšre, le plus souvent un coq gaulois. Sur le modĂšle qui suit, on voit un homme qui court â figurine plutĂŽt rare. Mon propos est de vous montrer comment lire le chrisme. Le X est horizontal comme les points cardinaux, ce nâest pas un X mais une croix avec quatre angles droits, mais par un effet de perspective on la voit sous la forme dâun X et dans le mĂȘme plan que le P. Jâavais abordĂ© cette question il y a quelques temps Ă propos de Sol Invictus, la religion romaine du Soleil Invaincu. Je vous incite vivement Ă le lire, câest le premier volet du prĂ©sent article. Soleil Invaincu, drĂŽle de nom. Jâai grattĂ© sous la poussiĂšre des siĂšcles. Et quâest-ce que jâai trouvĂ© ? Il ne sâagit pas de notre modeste soleil actuel. Pour une Ă©toile, lâadjectif invaincu semble inappropriĂ©. Quels sont le combats que livre une Ă©toile ? Aucun. Sauf sâil sâagit de lâEtoile Noire de Star Wars. Mais nous ne parlons plus de la mĂȘme chose. Notre brave soleil nâa rien Ă voir dans cette histoire-ci. Le soleil dont il est question sâavĂšre mille fois plus gros, cent mille fois plus clair que lâastre du jour. Le petit soleil a Ă©tĂ© vaincu, littĂ©ralement, par la puissante lumiĂšre de lâastre artificiel qui occupait alors prĂšs de la moitiĂ© du ciel. Une large portion du ciel du nord Ă©tait occupait par une Ă©norme sphĂšre hyper lumineuse. Ce super soleil Ă©tait une planĂšte errante, un vaisseau pilotĂ© par dâantiques astronautes, stabilisĂ© au dessus du pĂŽle nord en orbite gĂ©ostationnaire. Bien sĂ»r, par rapport au soleil, cette planĂšte vagabonde Ă©tait beaucoup plus petite. Sa position trĂšs proche de notre planĂšte lui donnait une taille apparente tout Ă fait gigantesque. De mĂȘme pour son Ă©clat. Elle ne faisait que reflĂ©ter la lumiĂšre du soleil Ă la façon de la lune. Sauf que lâengin high-tech savait amplifier cette lumiĂšre dans des proportions surprenantes. Tout le temps oĂč HyperborĂ©e est restĂ©e scotchĂ©e au dessus du pĂŽle nord, le vrai soleil sâest trouvĂ© relĂ©guĂ© Ă un rĂŽle subalterne. Sa lumiĂšre semblait falote, faiblarde, fragile et tellement lointaine ! Le vaisseau-mĂšre apparaissait tellement plus grand, tellement plus brillant ! Jâai conscience de proposer une hypothĂšse ahurissante pour la plupart de mes lecteurs. Elle semblera dâautant plus hasardeuse que lâon nâest pas imprĂ©gnĂ© de tout un contexte que jâai dĂ©veloppĂ© dans des centaines dâarticles. Le lecteur y trouvera des infos de premiĂšre main, des mystĂšres qui nâen sont plus, des secrets glanĂ©s au cours de mes incursions temporelles. Le passĂ© existe Ă jamais dans un univers créé par lui, et surtout pour lui. Rien ne disparaĂźt, le temps nâexiste pas, disons pas tout le temps, pas partout. Le passĂ© est toujours lĂ quelque part, suffit de savoir oĂč le chercher. Quant Ă lâavenir, il existe sous une multiplicitĂ© de formes. Celui qui se matĂ©rialise pour toi nâest pas le mĂȘme que le mien. Nous Ă©voluons dans un multivers aux infinies nuances, rien nâest totalement identique Ă rien dâautre, personne nâest jamais totalement diffĂ©rent de tous les autres vivants. Il nous est donc loisible, par un simple dĂ©placement du point dâassemblage, de visiter tel ou tel point du passĂ© comme de lâavenir. Pour lâĂȘtre total que nous sommes en puissance, que nous rĂ©aliserons peut-ĂȘtre, tout est possible, tout est permis. Avec mes potes sur les toits de la rue Gay Lussac le 18 mai 1968, crachant nos poumons Ă cause des lacrymos, lâoreille collĂ©e Ă nos transistors rĂ©glĂ©s sur Europe 1 ou RTL, nous sommes sortis de la tenaille que les CRS voulaient refermer sur nous. Mais les deux radios prĂ©citĂ©s nous guidaient au fur et Ă mesure, totalement du cĂŽtĂ© des jeunes insurgĂ©s, comme la quasi totalitĂ© du peuple de Paris. De Galle nâĂ©tait pas Thiers lâinfĂąme vieillard, loin de lĂ ! Pourtant la Commune Ă©tait dans toutes les tĂȘtes. Le RĂȘve aurait pu prendre corps. CâĂ©tait beaucoup trop tĂŽt, faut croire. Ătre en avance sur son temps, câest comme avoir tort. dĂ©couvrezle the c'est pas sorcier : petites lecons illustrees pour les amateurs (9782501163811) - kakegawa, yasu chez person Mon Compte shopping_cart Mon Panier 0