C'est pas l'homme qui prend la mer C'est la mer qui prend l'homme" Moi la mer elle m'a pris Je m'souviens, un vendredi Ne pleure plus ma mère Ton fils est matelot Ne pleure plus mon père
Chants Marins Renaud TransposerRenaud Séchan Song AIntro Em C'est pas l'homme qui prend la mer D EmC'est la mer qui prend l'homme tintintin Em DMoi la mer elle m'a pris D EmJ'me souviens un mardi Em D Em J'ai troqué mes santiags et mon cuir un peu zone D Em Contre une paire de docksides et un vieux ciré jaune D Em J'ai déserté les crasses qui m'disaient soit prudent D Em La mer c'est dégueulasse les poissons baisent dedansRefrain Em D EmDès que le vent soufflera je repartira G D B EmDès que les vents tourneront nous nous en alleronsG D B EmTransition Em C'est pas l'homme qui prend la mer D EmC'est la mer qui prend l'homme Em D Moi la mer elle m'a pris EmAu dépourvu, tant pis Em D Em J'ai eu si mal au cœur sur la mer en furie D Em J'ai vomi mon quatre heures et mon minuit aussi D Em J'me suis cogné partout, j'ai dormi dans des draps mouillés D Em Ca m'a coûté des sous, c'est d'la plaisance, c'est l'piedRefrain Em D D EmDès que le vent soufflera je repartira G D B EmDès que les vents tourneront nous nous en allerons G D B Em Fm Modulation Fm C'est pas l'homme qui prend la mer Eb Fm C'est la mer qui prend l'homme Eb Et elle prend pas la femme FmQui préfère la campagne Fm Eb Fm La mienne m'attend au bord au bout de la jetée, Eb Fm L'horizon est bien mort dans ses yeux délavés Eb Fm Assise sur une bite d'amarrage elle pleure Eb Fm Son homme qui la quitte la mer, c'est son malheurRefrain Fm Eb FmDès que le vent soufflera je repartira Ab Eb C FmDès que les vents tourneront nous nous en allerons Ab Eb C Fm Fm C'est pas l'homme qui prend la mer Eb Fm C'est la mer qui prend l'homme Eb Moi la mer elle m'a pris FmComme on prend un taxi Fm Eb Fm Je f'rais le tour du monde Pour voir a chaque étape Fm Eb Fm Si tous les gars du monde veulent bien m'lacher la grappe Eb Fm J'irai aux quatre vents foutre un peu le boxon Eb Fm Jamais les océans n'oublieront mon prénomRefrain Fm Eb FmDès que le vent soufflera je repartira Ab Eb C FmDès que les vents tourneront nous nous en allerons Ab Eb C Fm Fm Modulation 2 Fm C'est pas l'homme qui prend la mer E Fm C'est la mer qui prend l'homme Fm E Moi la mer elle m'a pris FmEt mon bateau aussi Fm E Fm Il est fier mon navire, il est beau mon bateau Fm E Fm C'est un fameux trois mâts fin comme un oiseau E Fm Si Tabarly, Pageot, Kersauzon et Riguidel E Fm Naviguent pas sur des cageots ni sur des poubellesRefrain Fm E FmDès que le vent soufflera je repartira A E C FmDès que les vents tourneront nous nous en allerons A E C Fm Fm C'est pas l'homme qui prend la mer E Fm C'est la mer qui prend l'homme E Moi la mer elle m'a pris Fm Je m'souviens un vendrediPont Fm Fm Ne pleure plus ma mère, E Fm Ton fils est matelot Fm E Ne pleure plus mon père, E Fm Je vis au fil de l'eau Fm Fm Regardez votre enfant E Fm il est parti marin E Je sais c'est pas marrant Fm mais c'était mon destinRefrain Fm E FmDès que le vent soufflera je repartira A E C FmDès que les vents tourneront nous nous en allerons E FmDès que le vent soufflera je repartira A E C FmDès que les vents tourneront nous nous en alleronsde requin Fm E FmDès que le vent soufflera je repartira A E C FmDès que les vents tourneront nous nous en allerons E FmDès que le vent soufflera je repartira A E C Fm Dès que les vents tourneront nous nous en allerons de L…n Chants Marins > Dès que le vent soufflera >
Cest pas l'homme qui prend la mer C'est la mer qui prends l'homme Moi la mer elle m'a pris Je m' souviens un Vendredi Ne pleure plus ma mère Ton fils est matelot Ne pleure plus mon père Je vis au fil de l'eau Regardez votre enfant Il est parti marin Je sais c'est pas marrant Mais c'était mon destin Dès que le vent soufflera Je repartira Dès que les vents tourneront Nous nous en
Scénario Spectare - C'EST PAS L'HOMME QUI PREND LA MER, C'EST LA MER QUI PREND L'HOMME1m76 - 62kgCheveux violets - lisses - mi-longsYeux dorés - perçants - acuité visuelle 10/10Visage fin - inexpressif le 3/4 du tempsCorps svelte - athlétique sous ses vêtements - agilité 9/10Kyanos a toujours été une personne loyale envers les gens, mais aussi envers ses convictions, l’ordre et les lois. Il n’aime décidément pas le chaos. Sur l’eau, il faut être toujours bien préparé à toute éventualité et cela pour de très bonnes raisons. Mère nature peut être sacrément cruelle par moment. C’est pourquoi il est important de toujours suivre les règles de navigation par exemple ou bien les conseils de marins plus expérimentés. Il faut aussi savoir suivre ses instincts sur ce que l’on croit bien ou mauvais. On sera toujours récompensé d’une bonne action que d’une mauvaise action. Le marin le sait et c’est pourquoi il n’hésitera jamais à dénoncer une personne qui va à l’encombre des règles de Novabi. Un travail bien fait c’est un travail suivi à la est aussi calme et serein qu’une déferlée de vagues légères sur une plage. Il ne montre pas ses émotions, ni ses sentiments sur son visage, mais par ses mots et ses gestes. Il n’est pas du genre violent, mais il sait se montrer ferme lorsque nécessaire. Kyanos n’est pas non plus du genre à hausser la voix, mais s’il doit interpeler quelqu’un qui trouble l’ordre de l’archipel dans une tentative inutile de s’enfuir de là , il le fera. Néanmoins, il fera tout en son pouvoir pour arrêter le trouble-fête, dans le respect des lois, bien sûre. Il n’est pas très enclin à user de la force et préfèrera nettement mieux parlementer avec l’individu en premier un homme très déterminé aussi. Quand il a une idée en tête, c’est très difficile de le dissuader d’arrêter d’y penser et encore moins, de l’empêcher de l’accomplir. Aussi, ce n’est pas une personne qui peut se faire acheter alors, les pots de vin et les messes basses, c’est hors de question. Ce n’est pas pour rien qu’il n’affiche jamais rien sur son visage même si la personne pleure devant lui ou tente de l’amadouer. Il reste bien stoïque à la détresse humaine. Être honnête c’est un peu son modus operandi. Il faut savoir être honnête avoir soi-même, mais aussi avec les autres gens qui nous entourent. Encore là , cela va dans le sens de sa bonne foi et d’aider son prochain à garder la tranquillité des lieux. Le garde de côte préfère dire la vérité même si elle peut sembler cruelle ou faire mal que de mentir pour paraitre mieux aux yeux de la personne. Un mensonge en entrainera certainement un autre et ainsi de suite jusqu’à se retrouver embourbé dans une histoire fausse ou une fausse représentation de soi. Kyanos travaille toujours très fort aussi. Il aime que tout soit ordonné et propre autant chez lui, dans son appartement, que sur le bateau des gardes de côte. Comme il a le pied marin et beaucoup de difficulté à rester sur la terre ferme, il préfèrera dormir sur le navire que de faire le chemin jusqu’à son domicile. Sa vie reste l’eau et ses remous. C’est sa maison et il y ressent un très fort bien-être. Plus à l’aise sur l’eau que sur terre, il ne mettra pied que si cela est nécessaire et cela bien malgré temps normal, il ne parle pas beaucoup, préférant observer ce qui l’entoure. S’il a besoin de s’exprimer, il le fera. S’il doit jouer le diplomate, le garde de côte le fera aussi, mais chacun de ses mots sera réfléchi et bien pesé. Persuader une personne à renoncer à sa liberté prend tout de même de l’expérience. On ne peut pas dire n’importe quoi et espérer que l’autre abdique en le remerciant du fond du cœur de lui avoir ouvert les yeux, hein? Tout doit être calculé et réfléchit et c’est une habitude que Kyanos a prise avec le temps. On ouvre la bouche que pour dire quelque chose d’intelligent. dernière petite chose à savoir sur lui c’est que le jeune homme est très lunatique. Il part souvent dans la lune, surtout lorsqu’il repense au passé ou à voguer plus loin que l’archipel. Cependant, ce ne sont que des vestiges du passé, rien qui le persuaderait de retourner affronter les flots des mers et de l’océan au loin là -bas. Ses camarades ont tendance à le bousculer un peu pour le sortir de cette transe lunatique et c’est bien l’un des rares moments où le violet affiche une expression de confusion sur son visage. Il manque parfois des trucs, mais jamais rien d’important!Un type favoris? Le type eau à 200%. Ayant toujours eu la mer comme seule impitoyable amante et seul véritable amour de génération en génération dans sa famille, il va sans dire que les pokémons aquatiques sont ce qu’il préfère. Il ne fait pas semblant, loin de là . L’eau douce, mais surtout l’eau salée, c’est ce qui le fait vibrer. Il va au gré des vagues et du tempérament de mère nature, tout comme les pokémons de type eau. Un pokémon craint? Le type électrik en général? Étant la plus grande faiblesse de l’eau, conducteur naturel de l’électricité, quoi de plus effrayant qu’une décharge surchargée? Les pokémons électriques sont dangereux et peuvent être mortels sur l’eau. En rester loin, c’est le minimum. Point barre. Son lien avec les pokémons? Kyanos n’a jamais possédé de pokémon lorsqu’il était dans la région de Kanto. Pas le temps pour cela lorsqu’on avait la grandeur des mers et de l’océan à naviguer et à découvrir. Pourtant, il a toujours eu une fascination pour les pokémons et leur adaptation aux environnements et à la présence humaine. Les seuls pokémons qu'il a connu de près sont ceux de sa mère, soit son Spoink et sa Nirondelle. Maintenant qu’il est à l’archipel et qu’il a un but précis à réaliser, soit d’empêcher quiconque de quitter les environs par la voie des mers, il a besoin d’un allié de taille. Un partenaire aquatique c’est l’idéal. De génération en génération, la famille Solomos a toujours vécu à Cramois'île. Même si les membres de cette famille de marins pouvaient parcourir les diverses régions sur leurs navires et leurs bateaux, leur port d’attache se trouvait toujours sur cette île flamboyante. L’amour de l’eau, de ce biome aquatique qui parsemait une grande partie du monde permettait à ces gens de découvrir bon nombre de mystères et de rencontrer des gens incroyables. C’est ainsi que le père de Kyanos rencontra sa mère. Jeune adulte d’à peine 20 ans, il avait vogué jusqu’à Hoenn, région lointaine pour ensuite amarrer à la ville portuaire de Nénucrique. Au tout début, il ne devait rester que quelques jours pour amasser vivres et eau potable, mais les jours devinrent des semaines, puis trois mois. L’homme était tombé amoureux de cette femme qui se donnait en spectacle concours après concours avec ses deux pokémons. Il ne manquait jamais de la regarder danser avec ces derniers. Ils finirent par tomber amoureux l’un de l’autre et la belle demoiselle accepta de le suivre sur son bateau pour vivre d’aventures trépidantes et de soleils couchants léchés par les vagues des mers et de l’océan. Après un an de périples dans les eaux sauvages du monde, ils revinrent à Cramois'île pour y donner naissance à un petit garçon. Le petit bébé fut bercer par ses parents et protégé par les pokémons de sa mère, un Spoink enjoué nommé Tourbillon et une Nirondelle sérieuse nommée Ciel. Il n’avait même pas encore un an que le père entrainait déjà son fils sur son bateau à lui faire faire des petits tours de l’île. Son baptême de l’eau dura des années aux côtés de son père et sous la surveillance attendrie de sa mère. Kyanos eu une enfance très heureuse. Enfant doux et calme, il n’exprimait pas visuellement ses émotions, mais ses gestes et ses mots parlaient d’eux-mêmes. La même passion que son paternel et que les générations avant lui s’incrusta dans sa chair et dans son cœur, son âme emplit d’aventures en haute mer. Le jeune garçon ne fit jamais le moindre grabuge, écoutant toujours à la lettre les règles et les avertissements de ses parents et des gens du voisinages. C’était un enfant perçu comme docile et tranquille qui était terriblement sage. Il n’avait pas la fougue des gens de feu, ni le tempérament festif des gens des mers. Le garçon ressemblait au calme d’une mer apaisée et à la flamme dansante sous une brise légère d’une journée d’été. Après quelques autres années, le jeune garçon à la chevelure violette devint un adolescent. Il avait la détermination de pouvoir voguer seul sur les eaux et l’ambition de tout marin qui se respectait. D’apparence calme, il y avait tout de même cette flamme de passion qui s’échauffait en lui. Avoir son propre navire et voyager ici et là sans connaitre sa prochaine destination, c’était son désir de jeunesse. À 18 ans, ses parents le laissèrent aller. On ne pouvait pas retenir la passion de l’océan dans le cœur d’un homme. C’est pourquoi son père offrit à Kyanos son propre bateau, celui-là même qu’il avait reçu de son père auparavant. Quittant donc père, mère et les pokémons de celle-ci, le nouveau marin pris le large, seul, pour la toute première premier voyage, il y en eu d’innombrables autres. Le violette se fit de nombreuses connaissances ici et là , mais jamais il ne restait bien longtemps. Il revint à Cramois'île quelques fois, mais il sentait que sa place était ailleurs. Naviguer c’était bien, mais ce n’était pas un but fixe, un but réel. C’est ainsi qu’à 21 ans, il prit connaissance d’un projet concernant une archipel qui recrutait des gens pour y vivre une aventure des plus extraordinaires. Une aventure sans retour en arrière, mais qui permettrait au marin de s’épanouir c’était plus que certain. Amoureux des eaux, il y trouverait son bonheur à coup sûr, une raison d’être et d’exister. C’est donc sans aucun remord que le jeune homme signa le contrat après l’avoir lu bien scrupuleusement et qu’il s’embarqua dans ce périple sans retour possible. Il avait laissé une lettre d’au revoir à sa famille et avait atterri bien vite sur l’archipel Novabi. Il laissa même son bateau à son père, ne pouvant pas l’apporter avec lui, malheureusement. C’était un nouveau départ après tout. Un nouvel air et de nouveaux horizons s’offraient au marin. Arrivé là -bas, Kyanos rencontra d’autres marins comme lui, devint leur camarade de beuverie et d’histoires saugrenues sur cet archipel et ses mystères. Lui, il ne parlait pas vraiment, mais écoutait, observait. C’était bien beau la vie de marin même sur ces eaux, mais il lui manquait encore là , un petit quelque chose. C’est ainsi qu’il eut vent d’une escouade de garde de côte. Le respect des règles et des lois lui tenait à cœur et il y avait toujours cette passion de l’eau qui envahissait son cœur. N’y pensant pas plus que cela, il s’engagea comme garde de côte même si cela lui attira des railleries de ses camarades marins. C’était un bon job et l’homme avait maintenant la certitude de faire quelque chose de bien et de ainsi que pendant 6 années de sa vie et maintenant encore, il empêcha les fuyards de quitter l’île prenant son rôle très à cœur. Le violet appris aussi à élever son propre partenaire pokémon pour l’aider à capturer les personnes qui se refusaient à suivre les lois de Novabi. Il lui donnait amour, douceur et protection, le traitant comme son propre enfant, un membre de sa famille. Aussi, Kyanos s’obstinait à dormir sur le bateau de la garde de côte parce que l’eau le rassurait bien plus que la terre ferme. Il ne dormait que très peu dans son appartement. L’eau, elle le berçait. La terre, elle ne pouvait pas faire cela. Encore aujourd’hui, il se prépare à une autre journée de boulot, scrutant les vagues et les eaux à la recherche de ce qui ne devrait pas s’y retrouver. Il fait un bon boulot et le garde de côte adore ce qu’il fait.
Dèsque le vent soufflera je repartira Dès que les vents tourneront nous nous en allerons C'est pas l'homme qui prend la mer C'est la mer qui prend l'homme Moi la mer elle m'a pris Je m'souviens, un vendredi Ne pleure plus ma mère Ton fils est matelot Ne pleure plus mon père Je vis au fil de l'eau, Regardez votre enfant Il est parti marin Je sais c'est pas marrant Mais c'était
Portrait François Richer C’est pas l’homme qui prend la mer » !Africa-Press – Congo Brazzaville. Cap sur Pointe-Noire où François Richer, grand spécialiste de toutes les pêches, fin cuisinier et installé au Congo depuis 10 ans, flirte depuis toujours avec les océans. Comme dit la chanson C’est pas l’homme qui prend la mer, c’est la mer qui prend l’homme »Il est né en France en 1969, dans une petite commune d’à peine 20 000 habitants appelée Saint Lô au cœur de la région de Normandie. François Richer a grandi dans un milieu modeste, entre une mère au foyer et un père employé aux PTT Postes et télécommunications dont il a gardé l’uniforme bleu de nuit. Cette veste de facteur, j’y tiens, elle est vintage, presque collector, c’est un souvenir d’enfance du temps où j’ai commencé la pêche avec mon père dans les marais du Cotentin. On y pêchait le brochet et la perche, deux poissons carnassiers d’eau douce. L’amour de la pêche m’est venu de cette époque de l’enfance », s’est-il souvenu. Comme hameçonné à cet amour de la pêche, François désertera une école qu’il n’aime que trop peu pour s’embarquer dès l’âge de 17 ans sur un caseyeur bulotier au port de Granville. L’ancre est levée, voilà François devenu matelot à pêcher ces mollusques marins qu’on appelle bulots. C’est pas l’homme qui prend la mer, c’est la mer qui prend l’homme », chantait aime bien Renaud. Il aime aussi les chansons de marins qu’il connaît sur le bout de ses doigts qui se frottent au sel des océans car, de Granville à la Baie de Pointe-Noire, c’est une longue histoire. C’est d’abord, à l’est du Cotentin, un autre bateau, Le Laëtitia », la pêche à la drague ou au chalut et les coquilles Saint-Jacques, très recherchées par les gastronomes. Il y a eu une rencontre formidable avec un homme hors du commun, Jean Paul, avec qui je pêchais la seiche au-delà des côtes et qui m’aura transmis toutes les valeurs de la pêche et le respect de l’environnement. Dans un métier qui te ne fait pas vraiment de cadeaux, je peux dire que lui c’était un bonhomme », a souligné François. Et d’ajouter Quand Jean Paul est décédé, j’ai acheté plus tard mon propre bateau, un doris qui est une embarcation en bois et à fond plat, je pêchais le bar à la canne. Par la suite, j’ai enchaîné avec un bateau plus grand, l’Euréka, pour pêcher les coquilles Saint-Jacques, les raies blanches, les soles, je les revendais moi-même en direct, à la criée ou sur les marchés. De temps en temps, j’allais aussi aux huitres ».Il y aura d’autres bateaux, le Karentez coulé dans l’archipel anglo-normand des Ecréhous, le Formule 1, le Steven, des bateaux toujours de plus en plus grands et quelques rêves à la fin qui dérivent au large. Mon dernier bateau et moi, ça matchait pas trop, il n’était pas assez performant alors j’ai ouvert une parenthèse et je me suis engagé sur les navires des Abeilles, spécialisés dans le remorquage et le sauvetage en haute mer », a lâché François. Mais l’amour de la pêche est le plus fort. Cap sur d’autres horizons, l’Ecosse et la mer du nord ou encore Terre Neuve, au Canada, pour la pêche dans les grands fonds, avec parfois des creux de 12 mètres, des vents à 60 nœuds et où la température fait – 40°. Ce fut d’autres expériences, rudes et magnifiques, avec des paysages d’une autre dimension où j’ai pêché le pétoncle géant ou encore le concombre des mers très prisé par les Asiatiques », s’est illuminé François désormais installé au Congo depuis 10 ans. En dehors de son travail sur un crew boat pour Total Energies, François s’adonne forcément, et dès qu’il peut, à la pêche. De sa passion, il en a fait presque une véritable encyclopédie ! Alors ? Du poisson au menu ? Ici, à Pointe-Noire, j’avoue une préférence pour le bar », a conclu ce presque ichtyologue !Pour plus d’informations et d’analyses sur la Congo Brazzaville, suivez Africa-Press
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